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Mónica Boixeda
La Casa Milà, populairement connue comme «La Pedrera» est un bâtiment construit par Gaudí entre 1906 et 1910 sur une avenue principale de la ville de Barcelone. La Famille Milà a confié à l´architecte la réalisation de cet édifice et il devint en 1984 patrimoine mondial par l´UNESCO. La façade en pierre est vallonnée et représente le mouvement de la mer, ainsi que l´intérieur du bâtiment, où l´on peut trouver des colonnes sculptées, des sculptures et des grands escaliers qui rappelle la vie marine avec une vision futuriste et fantastique. La Pedrera est un immense bâtiment qui dispose de nombreuses chambres d´une superficie au total de 1.323 mètres carrés entourant les deux grands jadrins circulaires qui sont également décorées de céramique de couleur et de métaux sculptés. On peut admirer par exemples sur les fenêtres les différentes formes de plantes faites en fer forgé. Gaudí a révolutionné l´architecture du XXe siècle et cela s´apprécie dans chacune de ses œuvres, qui sont aujourd´hui des musées ou monuments nationaux. La Casa Milà propose des activités culturelles et des visites guidées où vous pouvez visiter la maison et certaines de ses cours intérieures. Pour visiter ce magnifique édifice conçu par le grand architecte Gaudi louer des appartements à Barcelone et pour explorer et profiter de la ville et ses florilèges...
Mónica Boixeda
La ville de Barcelone est particulièrement fascinante particulière pour son l´histoire ancienne, son architecture moderne, l´art qui se fait sentir dans les rues, mais aussi pour sa nourriture que l´on trouve dans le marché de la Boqueria où l´on peut profiter de la ville dans son essence : essayer les fruits et légumes de saison, acheter les herbes nécessaires pour faire la cuisine le soir même et trouver des saveurs et des arômes sans fin dont vous vous souviendrez toute votre vie. La Boqueria est situé au 91 de la Rambla et vous propose des milliers de boutiques, chacune spécialisée dans une branche différente de la gastronomie. Par exemple, il y a des stands pour tous ce qui est volaille, gibier et les œufs, d´autres pour les légumineuses et les céréales et les olives en conserve pour n´en nommer que quelques-uns. Mais la Boqueria ce n´est pas seulement un marché, c´est aussi un point de rencontre pour les espagnols, à intérieur ils se sentent comme à la maison car les odeurs ravivent les souvenirs d´enfance et les couleurs et les saveurs si délicieuses les font revenir encore et toujours. Et c´est la même chose pour les touristes qui ont croisés leur chemin lors de leur visite au marché la Boqueria de Barcelone. Le marché de la Boqueria est un espace ouvert à la communauté qui invite tous les gens qui passent à travers la ville pour l´explorer. Pour cela, vous n´avez plus qu´à louer des appartements à Barcelone et à consacrer à manger et à sentir des plats et des produits...
Mónica Boixeda
Selon la légende qu’il a lui-même lancé, en juin 1969, quand il avait 17 ans, l’écrivain espagnol Javier Marias s’est enfui à Paris avec la ferme intention de passer l’été dans la maison de son oncle dans la capitale française, le directeur culte Jesus Franco, en écrivant un romain dont l’action se passait dans une Amérique entièrement imaginée. Profitant du fait que son oncle se trouvait hors de la ville et en s’alimentant d’un régime imposé par les circonstances dont l’élément essentiel était de pain la moutarde, Masias s’est adonné durant cet été et de discipline singulière de travail qui organisait jour après jour trois parties bien différente. Le matin et ne sortait pas de la maison du numéro 15 de la rue Freyssinet et écrivait son livre sans s’arrêter dans un état proche de la transe dans le salon où la compagnie un piano blanc et de nombreuses étagères remplies de revues érotiques. Ensuite, à l’heure où ouvrit cinéma, il passait l’après-midi en allant de l’un à l’autre, avec une prédilection spéciale peut-être pour la cinémathèque d’Henri Langlois, pour se noyer dans les films américains des années 20,40 et 50 comme unique source de documentation et principale forme d’inspiration pour le roman qu’il avait entre les mains. Et finalement, la nuit, il se laissait tomber si avec une guitare décrépite sur les terrasses des Champs-Élysées où il interprétait des chansons de gens comme Bob Dylan avec l’espoir que des citoyens lui donneraient quelques pièces. Le résultat littéraire de cette époque parisienne a été Los dominios del lobo (les démons du loup), une œuvre splendide qui célèbre par-dessus tout...
Mónica Boixeda
Du 6 au 8 mai, aura lieu au palais Sant Jordi de Barcelone la Final Four de basket-ball. Avec une capacité de plus de 16 000 personnes, il s’agit de l’une des installations qui ont déjà accueilli cette dernière phase de la plus grande compétition européenne, en 1998 et en 2003. Le chemin jusqu’à la finale est long, il commence en automne avec le début de la saison et parcourent différentes phases durant laquelle les équipes moins fortes sont éliminées. Ainsi, après une première phase où ont été classé les quatre premières équipes de chaque groupe, arrive une autre phase de quatre groupes plus réduits durant laquelle se classifie les deux premiers. Les huit groupes qui restent forment quatre groupes de finale, et se rencontrent selon un système de Play off à la fin de cinq parties. De là, sortent quatre derniers, qui joue la coupe d’Europe pour un week-end intense dans système de demi-finale et finale. La grande surprise de cette édition est que, bien que cela se passe dans sa ville et qu’il soit le favori, le Barcelona, champion actuel, ne sera pas dans les finales car il est éliminé par le grec Panathinaikos. Mais ce n’est pas la seule. Après avoir perdu la première partie sur le terrain grec avec une historique et honteuse différence de 48 points (89-41), le Montepaschi de Vienne a réussi à gagner de trois parties suivantes sur le puissant Olympiakos. Le Maccabide Tel-Aviv a fait de meme, et a réussi à se qualifier. Néanmoins, la célébration de la fête de Yom Hazikaron (jour de mémoire aux soldats tombés en Israël) pourrait ne...
Mónica Boixeda
Le vendredi 6 mai à 21h il y aura un concert du groupe musical Ojos de Brojo à la Salle Apolo de Barcelone, pour célébré leur dix de vie dans les scènes du monde entier. A cette occasion le groupe sera accompagné de plus de 20 artistes qui réinterpréteront tous leurs grands succès et l’énorme quantité de chansons produites pendant ces dix années. En plus de célébré la trajectoire d’Ojos de Brujo, le concert veut mettre l’accent sur le parcours du groupe nominé aux Prix de la Musique 2011 dans la catégorie Meilleur Album Fusion avec le disque Corriente Vital-10 años (Courant Vital-10 ans). La cérémonie sera le 18 mai au théâtre Asteria Coliseum de Madrid. Ojos de Brujos fut fondé à Barcelone en 1996. A l’époque Barcelone vivait des rencontres musicales de jam sessions et Ramon Jiménez qui jouait de la guitare flamande, rencontra le bassiste Juanlu et ils commencèrent à donner corps à un intéressant mélange de sons avec la saveur et la passion de flamenco. A partir d’une notion claire de ce qu’ils voulaient et de ce qu’ils n’accepteraient pas comme concept musical est né leur premier album Vengue, qui sera édité en Belgique, Allemagne, Italie et France. Depuis ce moment ils développent un travail collectif de collaboration entre différents musiciens, bien que le groupe se stabilise avec Ramón Jiménez, Juanlu, Marina, Xavi Turull, Panko, Sergio Ramos et Maxwell Wright. En 2002, en plus de leur deuxième album Bari, le groupe se lance dans un projet ambitieux en créant leur propre maison de production La Fabrica de Colores (La Fabrique de Couleurs) pour produire leurs propres...