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palacio-guell-barcelone
Dans la danse cyclique du temps en Occident il y à sans doute eu des périodes plus timorées et puritaines que la notre. C’est vrai, cependant il y en a eu aussi, et certaines pas très lointaines, incomparablement plus libres et permissives en ce qui concerne les questions de morales, ce qui pour beaucoup nous fait sentir victimes d’un retour en arrière difficilement supportable. Alors que ces dernières coïncident généralement avec des explosions de l’intelligence et de la créativité humaine, les premières ont lieu généralement dans des moments où la stupidité semble s’ériger dans le paradigme dominant. Naturellement, ni l’intelligence ni la créativité, ni le goût, ni le style, ne disparaissent de la surface de la terre, simplement, loin de se constituer en un référent capable d’impulser la société depuis ses milieux minoritaires, ils donnent la sensation d’être suspects et d’être relégués aux ténèbres les plus lointaines. On s’habitue tellement à la niaiserie, à la bêtise et au manque d’idées dans le discours politique, (que l’on parait être dominé par ces étudiants gris qui n’ont même pas atteint le glamour d’être les derniers de la classe), les moyens de communication, le travail, la culture de masse, qui finissent par risquer d’oublier qu’il y a une autre façon de penser, de vivre, de faire les choses et de gouverner. Par exemple on entend avec tant de fréquence et de naturalité des commentaires négatifs sur la vie d’Amy Winehouse, que l’on oublie que l’on ne peut pas exiger à une artiste torturée qu’elle fasse des disques qui nous déchirent le cœur à base d’un régime libre de nicotine et de drogues...
cyndi-lauper-rome
La fondation musique pour Rome présente le 11 juillet un extraordinaire concert de la chanteuse controversée Cyndi Lauper, Menphis Blues Tour, qui se réalisera l´auditorium Parco della Musica. L´organisation a considéré ce concert comme l´activité musicale la plus importante de la saison d´été en Italie, et à chercher la rencontre entre Lauper et le public italien amant de la musique et de la voix de cette chanteuse particulière, qui porte l´Italie dans ses gènes. Cynthia Ann Stephanie Lauper, plus connue sous le nom de Cyndi Lauper, est née à Brooklyn, New York, 1953. Elle n´a pas eu une enfance facile, sa mère d´origine italienne- américaine, de qui elle hérita de l´expressivité, travaillait comme serveuse suite à la rupture de son mariage. Cindi a grandi en écoutant Ella Fitzgerald, Billie Hollyday, Judy Garland et les Beatles, un mélange explosif de pour une petite fille amantes des sons urbains. À l´âge de 12 ans, elle a commencé à écrire ses propres mélodies, en plus de jouer de la guitare de façon virtuose. Son de l´adolescence et le bouillonnement de la banlieue furent ses premières stimulus pour composer des chansons d´amour. Son goût de ce fait remarquer l´amena à expérimenter avec ses habits et sa coiffure, transformant son image de forme radicale avec des modes étranges et les cheveux de couleur, qui furent ensuite sa marque sur scène. Elle ne se fit pas remarquée pour les études, et bien qu´elle ait été d´accepter dans une école spéciale pour la formation des jeunes talents en audiovisuel, elle abandonna des études. Elle décida de se rendre Canada, mais ne donna pas suite à cette...
cimetieres-barcelone
Artistes, aventuriers, scientifiques, pauvres et riches, tous font partie de l’histoire de Barcelone et ont leur endroit spécial dans deux des cimetières les plus importants de la ville, les cimetières de Monjuic et Poble Nou. Le premier à être construit a été le cimetière de Poble Nou et il a une histoire qui reflète les changements vécus à la fin du 18ème siècle et au début du 19ème. Le cimetière de Poble Nou à deux étapes, la première commence en 1775, quand l’évêque de la ville, observant les changements rapides de la société et la nécessité de créer une nécropole à cause des problèmes de santé publique que générait l’habitude d’enterrer les morts dans les églises de leurs quartiers respectifs, commence le projet de construction du cimetière de Poble Nou, qui à l’époque était un secteur agricole éloigné de la ville. Bien que la nouvelle législation espagnole établissait la construction des cimetières éloignés des villes, la population bourgeoise de Barcelone considérait que c’était un déshonneur d’être enterré loin de leur église et c’est pour cette raison que le premier cimetière se transforme en lieu de repos pour les pauvres et les malades qui mouraient dans les hôpitaux. La seconde époque du cimetière commence après sa destruction en 1819, projet que réalise l’architecte italien Antonio Ginesi et qui est conservé jusqu’à aujourd’hui. Le cimetière de Poble Nou est divisé en 4 zones qui reflètent la diversité et l’histoire de la ville. Parmi lesquelles les plus remarquables pour leur richesse artistique sont l’enceinte des panthéons, la chapelle, la paroisse de Santa María del Mar, le tombeau d’El santet et évidement la...
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Comme un Zombie je fus témoin de la façon dont quatre ou cinq charognes rats d’égouts attaquaient physiquement (en le dévalisant aussi) à une personne surement étrangère dans la Carrer dels Escudellers. Nous, un groupe sorti du dernier bar qui ferma, vîmes sauter sa tête. Deux d’entre nous essayaient de l’aider en l’appuyant contre un mur pendant que quelqu’un appelait une ambulance. Mais ces salles charognes apparurent de nulle part. Et avec un accent d’ici, ils nous insultaient et nous conseillaient de la laissé tous seul. Et bien que quelqu’un leur cria que cela suffisait, ils ne nous laissèrent pas tranquille. Comme des zombies impuissants nous dûmes nous écarter de la charogne en direction des Ramblas. A ce moment là, je n’aurais jamais du me tourner. Il me vint à l’esprit une de ces scènes des documentaires sur la vie sauvage qui passe tout le temps à la télé. Quand, en meute, les membres agiles s’organisent pour la chasse d’une potentielle proie. Déjà à leur merci, étourdit par tant de coups de griffes, finalement ils lui sautent dessus comme des possédés, s’assurant les meilleurs viscères. Pour survivre, surement. Comme des zombies inutiles, il y avait une dizaine des membres du même corps de police, sans exagéré avec leurs voitures au milieu de la rue. Plus d’un des notre sauta pour les informer des faits. Pour qu’ils aillent le sauver. D’un ton grave, comme un zombi, un d’entre eux nous répondit : nous avons des choses plus importantes à résoudre, mademoiselle. Moi, zombi, je me demande encore qu’est ce qui pouvait être si important. Ils patrouillaient peut-être en mode zombi pour...
gaudi-barcelone
Parler de l´œuvre d´Antoni Gaudi pour quelqu´un qui partage cette passion vibrante et qui se remplit de plaisir en voyant chacune de ses réalisations est un acte poétique. L´artiste et architecte catalan fît un don incalculable à l´humanité et changea pour toujours l´architecture dans sa façon de créer. Bien que les oeuvres de Gaudi soient très nombreuses, seules quelques unes sont réellement connues et visitées par les touristes, plus précisément dans la ville de Barcelone, qui vit et respire avec Gaudi, ainsi les lignes qui suivent consistent en une brève description des constructions existantes sur Barcelone et ses alentours, qui peut-être ne bénéficient pas de la réputation de la Sagrada Familia, mais qui sont importantes dans l´histoire de l´artiste. Parmi les maisons les plus méconnues de l´architecte, nous pouvons compter Bellesguard. Construite dans un lieu mythique ou était situé la maison du roi Martin «l´humain», dernier roi de Catalogne. La maison originale fût édifiée en 1408 et détruite postérieurement par la guerre. Bellesguard fût construite presque 500 ans après et signifiât beaucoup pour Gaudi de ce fait historique, son aspect s´inscrit dans la lignée de l´architecture médiévale et néogothique, cet édifice, très différent de ses autres maisons, sans aucun doute, remémore cette période de l´histoire catalane. La maison est située dans le quartier de Sarria, dans la rue du même nom. La casa Vicens fait elle aussi partie de ses créations, située dans la rue «Carolines», entre le métro Fontana et Lesseps. Cette œuvre est la première que créa Gaudi après avoir obtenu son diplôme d’architecture, pour cela il s´agit peut-être du meilleur exemple de cette première étape artistique,...Transport de l´aéroport à la ville
Information transport de l´aéroport de Barcelone au centre ville.
bikerentalbarcelona
Location de vélos à Barcelone. Du lundi au dimanche, de 10h à 20h.
Glòries
Glòries a ouvert en 1995 et il est idéal si vous voulez faire une promenade, acheter des vêtements ou aller au restaurant.
gaudi-architecture
Tous les animaux ont besoin d’un territoire, certains le font sien en délimitant les frontières avec leurs origines. Nous nous le faisons en le modelant selon nos goûts et cela peut être un reflet de notre façon de penser et de voir le monde. Nous le construisons avec des objets qui signifient quelque choses dans notre vie, qui nous font sentir, aimer et qui nous transmettent de l’énergie, mais si il y en a un qui nous transportent vers un passé conflictuel, celui-ci nous absorbe l’énergie comme un vampire. Le curateur du surréalisme André Breton vivait dans un petit appartement à Pigalle, le quartier parisien célèbre pour son Moulin Rouge, ses cabarets et ses sex-shops. Il avait deux petites pièces pleines de tableaux, d’objets curieux et de sculptures magiques africaines. Samuel Beckett romancier irlandais, vivait au dernier étage d’un bâtiment d’architecture médiocre, avec un minimum de meubles et des murs blanc sans décoration. Par la fenêtre on pouvait voir le mur d’une prison. Marcel Marceau vivait dans une grande maison avec un parc, les arbres infestés de toiles d’araignée, les murs remplis de photos de lui avec des célébrités, acteurs de cinéma, présidents, millionnaires, etc., ses meubles étaient pour la plus part des armoires où il exposait ses médailles, diplômes et trophées. Il avait un grand studio où il exposait une multitude de ses affiches dans différentes langues. Gaudi, l’architecte catalan, vivait dans une maison avec des meubles dessinés par lui, dans l’enceinte du Parque Güell. C’était un artiste qui ne cherchait jamais la complaisance ni la revendication de son égo, il observait simplement la nature (“ Cet arbre près...
