Mónica Boixeda
La Pedrera (ou Casa Mila) de Barcelone est un bâtiment connu dans le monde entier pour son architecture inhabituelle. L´architecte a été Gaudi,
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La Boqueria est le grand marché de Barcelone: nourriture et des produits de qualité dans lieu visité par les espagnoles et les touristes.
Mónica Boixeda
L’artiste italien Nico Vascellari est un maitre de l’excentricité. Ses incroyables installations sont de complexes hybrides entre dessin, collage, vidéo, performance et sculpture avec des détailles sonores. Ses influences les plus importantes sont le folklore, la nature et la scène underground alternative. Vascellari est un artisan éclectique, artiste contemporain et chanteur du groupe punk “With love”, sa force est dans les formes d’expressions archaïques et rebelles. En 2007 il participa à l’une des biennal d’art contemporain les plus importantes et radicales du monde, la Manifesta. Son apport fut une vidéo-installation de grand format, qui fut remarquée par les commissaires et les critiques au niveau international. Cette même année il fut primé par le “Youn Italian Art Award”, et son travail fut incorporé à une des collections corporatives les plus importantes du monde, la Deutsche Bank Collection. “Cuckoo” fut une de ses expositions plus risquées, qui eut lieu en 2007. Vascellari y montrait une installation dans laquelle se fusionnaient les concepts du rituel, de l’iconographie, du rythme, du temple et du sacrifice, qui culminait par une inespérée performance en collaboration avec les membres de son groupe punk. Maintenant le MACRO, le musée d’art contemporain de Rome, accueille cet artiste, un des plus intéressants du panorama artistique italien. Le 29 octobre 2010 fut inaugurée l’exposition intitulée “Blonde”, un projet qui fut pensé pour les murs courbes de ce musée, pour donner plus de vie à ces zones de transites. Plus d’information sur “Blonde” : http://en.macro.roma.museum/mostre_ed_eventi/mostre/nico_vascellari_blonde Heloise Battista Si tu es intéressé par le travail éclectique et cassant d’un des artistes émergents les plus important du moment, ne manques pas sa première...
Mónica Boixeda
Jusqu’au 20 mars, sera présentée à la villa Médicis l´exposition Europunk organisé par l´Académie de France à Rome, qui cherche à mettre en manifeste la dimension visuelle du punk dans les années 1976 – 80. Le mouvement punk présenta l´irrévérence de la fin des et 70 devant la crise profonde de la société européenne, créant une culture qui servit d´inspiration à de nombreux artistes et a généré une tendance dans l´art qui inspira à beaucoup de l´art émergeant. L´exposition propose un parcours par ses racines sociopolitiques et ses effets sur le développement de la culture visuelle du punk, au travers d´une collection de 500 objets artistiques comme des habits, des revues, posters, pamphlets, dessins, collages, couvertures de disques et vidéo. Europunk ouvre avec les notes de Sex Pistols dans leur première apparition à la télévision (1976), dans le programme “So it goes », ce qui sera considéré comme la naissance officielle du mouvement punk, et qui se termine avec l´intervention de Joy Division à la BBC en 1979, cédant le pas à la naissance du New Wave. Entre les pièces de l´exposition, il y a le fameux poster présentant le portrait de la reine d´Angleterre Isabelle II, dont les yeux et la bouche sont cachés par le titre « God save the Queen » sur un drapeau britannique comme provocation à l´autorité et aux traditions britanniques. Sera présent aussi l´affiche publicitaire utilisée pour le lancement de “Anarchy in the UK” produit par l´artiste Jamie Reid, pièce incontournable de la culture punk. Aux côtés de ses incontournables, il y aura une exposition de vêtements dessinés par Malcom McLaren et Vivienne Westwood,...
Mónica Boixeda
Depuis la publication du roman à succès Ho voglia di te (J´ai envie de toi) de Federico Moccia en 2006, et même si à cause de ça les piliers de l´historique pont Milvio ont cédé – après avoir résisté près de 2000 ans, ils n´ont pas pu supporter le poids de tant de mauvais goût et de sous-littérature – il existe une nouvelle coutume romaine, qui s´est étendu rapidement à d´autres villes du monde, comme si ce n´était pas assez clair que le mauvais goût n´a pas de frontières. Le jour de la Saint Valentin (le 14 février) les amoureux mettent des cadenas avec leurs initiales aux lampadaires des ponts et en jettent ensuite, en se regardant dans les yeux, les clés à l´eau turbulente des rivières. Pas même le pauvre pont Milvio, lieu où s´est généré le phénomène, ne s´est sauvé avec son écroulement de l´épouvantable ridicule, il a plutôt du souffrir une offense ultérieure qui est une atteinte également – cela parait incroyable que ça arrive justement en Italie – à son harmonie esthétique, puisque le maire de Rome a fait mettre des colonnes d´acier pour que les lecteurs de Moccia puissent continuer sans problèmes avec leur particulier rite. Malgré tout, Rome continue à être une ville idéale pour passer le jour des amoureux. Ce n´est pas pour rien que nous obtenons amoR si nous lisons son nom dans un miroir, ce qui depuis toujours a nourri la théorie que c´est son nom secret, ce nom secret qui, selon une très vieille tradition était interdit de révéler sous peine de mort, c´est ainsi que, selon nous le...
Mónica Boixeda
L´Indie rock alternatif est actuellement un des styles musicaux qui a le plus d´importance dans le monde, mais s´il y a un lieu où ce mouvement est le plus important non seulement parce qu´il y a beaucoup de personnes qui le suivent mais aussi parce qu´il y a beaucoup de groupes qui y sont nés, c´est l´Angleterre. L´un des groupes les plus importants qui représentent ce style est sans aucun doute, the wombats. Cette formation n´est en 2003 à Liverpool (tout comme les Beatles) et est composée par Matthew Murphy, Dan Haggis et Tord Øverland-Knudsen. Il se szont connus au Liverpool Institute of Performing Arts et rapidement ils devinrent amis et commencèrent à improviser ensemble. Logiquement, les résultats furent bien meilleurs que ceux qu´ils avaient imaginés et pour 2006, ils lancèrent déjà leur premier single appelé «Girls, Boys, and Marsupials» qui devint un vinyle qui fut seulement lancé au Japon. Cette production commença à capter l´attention mais le moment le plus important de leur carrière fut le lancement du simple «Let´s Dance To Joy Division ». Cette chanson se fit rapidement connaître dans le monde entier et commença à être écoutée à travers de la radio et dans les discothèques et fut remixée par beaucoup d´artistes. Cette chanson les catapulta au mainstream et leur fit faire une tournée en Europe qui se termina en un show à la Liverpool Acamedy, l´un des lieux où se présentaient bandes les plus reconnus du monde. Et comme si ce n´était pas assez, ils gagnèrent le prix NME au Best Dancefloor Filler avec la chanson «Let´s Dance To Joy Divison». Avec ce prix...
Mónica Boixeda
Le sculpteur britannique Antony Gormley est obsédé par le corps humain en relation avec l´espace. Depuis plus de 40 ans de trajectoire artistique, Gormley a exploré la connexion corps-espace avec ses installations à grande échelle comme par exemple Another Place, Domain Field ou Inside Australia. Ce qui est intéressant c´est que Gormley part de son propre corps et subjectivité, pour inviter le spectateur à participer à ce même point de vue et lui donner, ainsi, une projection collective. L´art de Gormley a été exposé dans quelques-unes des institutions les plus importantes du monde, comme par exemple la Tate et le British Museum en Angleterre, la Kunsthalle zu Kiel en Allemagne et le Musée National d´Histoire de Beijing en Chine. Maintenant sa fascinante œuvre arrive à Rome avec sa première exposition à la MACRO intitulée “Drawing Space”, elle a été inaugurée le 26 octobre et demeurera ouverte jusqu´au 6 février 2011. Les commissaires sont Luca Massimo Barbero et Anna Moszynska, et l´exposition présente autour de 80 dessins qui ont été conçus de 1981 à aujourd´hui, et qui représentent une importante facette de la trajectoire artistique de Gormley, ainsi que quatre sculptures récentes. Fasciné par la pénétration de l´humain dans l´espace imaginaire, émotionnel et concret, dans ces dessins l´artiste part du corps humain, pour, partant de ce point, explorer comment nous nous relationnons et orientons dans l´espace. Mais Gormley ressent aussi un grand intérêt pour ces moments critiques dans lesquels l´être humain commence à se désorienter et à se perdre, quand il sent que l´espace l´envahit. Pour plus d´information: http://en.macro.roma.museum/mostre_ed_eventi/mostre/antony_gormley_drawing_space Heloise Battista Si tu ne veux pas rater l´œuvre de cet...
Mónica Boixeda
Les interactions entre l’art contemporain et d’autres disciplines sont à l’évidence de plus en plus fréquente. Les limites se confondent et maintenant il n’est plus possible de tracer une ligne qui sépare deux différentes disciplines, entre l’art comme “Beaux-arts” ou comme “arts décoratifs”, entre design et art, entre cuisine et art. Est-il possible de considérer la cuisine comme un art ? La réponse est oui, évidement, si elle ce considère comme une certaine tendance de l’art contemporain qui c’est tourné vers une “esthétique relationnel”, tel comme l’a défini le critique et commissaire français Nicolas Bourriaud. Il s’agit de pratiques artistiques qui impliquent fortement le spectateur (créant des relations spécifiques avec l’œuvre, qui laisse d’exister en tant que tel sans la participation du public) et qui récemment c’est tourner vers le monde de la cuisine, c´est-à-dire une situation d’agrégation social et d’union par excellence. Le premier à avoir ouvert cette tendance fut le thaïlandais Rikrit Tiravanija, emmenant directement son wok dans les galeries et cuisinant pour les visiteurs. L’œuvre de Tiravanija n’a pas été mise en question en tant qu’art, car depuis le début il avait l’intention que cela soit considéré comme une action artistique et l’on sait que l’intention de l’auteur est aujourd’hui une des rares possibilités de discerner ce qui est art ou non (bien que dans certains cas même cette distinction n’est plus valable). Le doute qui se met face au travail de Ferran Adria est différent. Quand, en 2007, il fut invité à l’importante foire internationale d’art Documenta 12 (à Kassel) sa participation réveilla des sentiments contrastés et un peu de rage dans les artistes conventionnels qui...
Mónica Boixeda
Jusqu’au 30 décembre de cette année le Musé Egipcio de Barcelone expose une série de pièces archéologiques montrent l’histoire pharaonique au moyen de différentes représentations de la vie quotidienne et du monde funéraire de l’époque. Il y a beaucoup de nouvelles pièces qui n’ont jamais été exposées. Entre elles plus de quarante qui furent acquises ou qui reviennent au musé après de longues tournées d’expositions au niveau national et international. Entre ces nouvelles acquisitions on peut observer des pièces de joailleries : bagues, colliers et colliers pectoral. Une des séries les plus remarquables est la collection de colliers qui a appartenu au baron allemand Hans Wolfgang Herwarth von Bittenfeld qui avait d’intimes relations avec le cercle politique de l’Allemagne Nazi. Une autre pièce remarquable, une bague en or massif qui représente le nom de Néfertiti, l’épouse du pharaon Akhénaton. Il y a aussi plusieurs verres en pierre, vases en céramiques, appuie-têtes en or et des répliques de pièces exposées au musé du Caire. Tout type d’œuvres sont exposées et il y a aussi des livres de spécialistes qui viennent directement de la bibliothèque du musé. Et pas moins de 10 milles documents peuvent être consultés. Le Musé Egipcio de Barcelone fut inauguré en 1994 et se présente comme le premier musé monographique. Il y est exposé des centaines d’œuvres. Si tu veux assister à cette exposition qui dévoile plus de 40 pièces uniques, tu peux louer un des appartements à Barcelone et profiter des...
Mónica Boixeda
Il y a beaucoup de propositions de loisir dans des provinces comme celle de Barcelone, mais peu d’entre-elles offrent l’opportunité de s’amuser de manière imaginative et interactive À des personnes de tous âges dans un même espace-temps. Le défi auquel nous soumet le Labyrinthe est intemporel. Il nous est présenté comme une installation éphémère qui occupe ponctuellement un espace inattendu dans des parques et jardins, places et placettes, rues et ruelles et terrasses. Sa conception modulaire, lui permettant de s’adapter a un emplacement ou un autre quel que soit l’endroit proposé. Le Labyrinthe avec Ses effets, esthétiquement tentateurs, est spectaculaire à n’ importe quel moment, de jour comme de nuit. Les méandres de portes et fausses portes, murs et faux murs, de chemins sans issues ou de ceux qui te mènent directement à la sortie, crée un nouvel espace ou il n’y a jamais rien eu, provoquant rires et colères passagères à ceux qui y entrent. Avec l’esthétique de la typique offerte de forains de cirque freak, Ses créateurs arrivent à l’emplacement et sortent de leurs manches un labyrinthe. C’est se faire un cadeau à l’esprit que de se laisser aller sur le chemin le moins fréquenté de l’imagination, résoudre Ses devinettes, se perdre sur ses sentiers, regarder le ciel depuis son intérieur ou observer les autres a travers de Ses murs invisibles, car le Labyrinthe c´est l’impossible devenu réalité dans l’ici maintenant et il invite à revenir au même endroit demain, a fermer les yeux et découvrir que sans lui, maintenant, il reste seulement l’écho de ses voix. Cet été, et après avoir été présenté sur des espaces...