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Musée Thyssen-Bornemisza

Le musée Thyssen-Bornemisza, l’un des plus importants de Madrid, possède certaines des œuvres les plus importantes XXe siècle.

Le musée Reina Sofia Madrid

Le musée Reina Sofia et l’un des plus importants d’Espagne. On n’y trouve les œuvres de Picasso, Miró et Dali entre autres.

Le Panthéon de Goya

Le Panthéon de Goya est la tombe de l’un des artistes les plus importants d’Espagne et c’est le lieu où l’on peut voir des murales

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En l’an 750 de notre ère, un jeune prince Omeyyade réussit à échapper du massacre de toute sa famille par les Abasies et après avoir parcouru le nord de l’Afrique dans un extraordinaire voyage fuyant des Abasies, il arriva cinq ans plus tard à l’extrême occidental des territoires musulmans, l’ancienne Ibérie des romains, récemment rebaptisée comme Al-Andalus dans la belle langue arabe. Son nom était Abd-al-Rahman et c’était le petit-fils du dernier calife Omeyyade, ce qui le convertirait légitimement d’une certaine façon comme le plus noble des arabes (le dernier héritier des guerriers du désert qui furent les compagnons du prophète lui-même). Maintenant que toute sa famille avait été anéantit par une nouvelle dynastie qui, marquant des distance avec le passé, avait également abandonnée la magnifique ville de Damas en déplaçant la capitale de l’Islam à Bagdad, une formidable et fabuleuse nouvelle ville circulaire érigé sur les bords du Tigre. Seulement Abd-al-Rahman était aussi berbère du coté de sa mère, ce qui lui permit de manœuvrer politiquement à l’Al-Andalus et d’obtenir la fidélité autant de Syriens comme des berbères pour arriver à devenir le nouveau gouverneur de la province et être finalement reconnu comme émir de celle-ci par les Abasies, satisfaits de l’avoir comme subordonné politique et qu’il soit condamné à un exile perpétuel de l’autre coté du monde (à cette époque la présence Abadie s’étendait jusqu’en Chine). Dans les terres d’Al-Andalus, conscient qu’il mourrait loin de sa Damas bien aimée (ce qui arriva presque quarante ans plus tard), Abd-al-Rahman consacra une grande partie de sa vie à la construction d’une série de palaces, jardins et temples de la...

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Située dans un admirable bâtiment néoclassique du 18ème siècle, entre les somptueux hôtels Ritz et Palace, juste dans la confluence de la Carrera de San Jeronimo et du Paseo del Prado, dans l’élégant Palace de Villahermosa (on raconte que dans un de ses salons, Franz Liszt a donné un de ses mémorables et enivrants concerts). Le Musée Thyssen-Bornemisza http://www.museothyssen.org/thyssen/home constitue non seulement l’une des plus importantes pinacothèques d’Espagne, mais aussi probablement de tout le continent Européen. Avec les prestigieux Musée del Prado et Musée Nacional Centro de Arte Reina Sofia, il constitue un des sommets de la Milla de Oro del Arte madrilène et reçoit chaque années des centaines de milliers de visiteurs du monde entier. Tout comme la collection du Prado (dont le plus grand attrait réside, sauf quelques exceptions comme par exemple celle de Francisco Goya, dans les grands maitres de la peinture de la renaissance et baroque) qui couvre une période qui va du moyen âge à la peinture historiciste espagnole du 19ème siècle. Et le Musée Nacional Centro de Arte Reina Sofia devient actuellement le témoin chronologique en nous plongeant dans un parcours dans l’art du 20ème siècle qui nous mène jusqu’au présent. Le Musée Thyssen-Bornemisza couvre une période qui va du 13ème siècle jusqu’à la seconde moitié du 20ème siècle, grâce à une collection extraordinaire dans laquelle nous pouvons voir par exemple les seuls Cezzanne et Hopper qui sont exhibés à Madrid mais aussi des tableaux remarquables de maitres comme Ghirlandaio, Uccello, Durero, Caravaggio, El Greco, Van Gogh, Monet, Gauguin, Chagall, Marc, Klee, Giacometti, Lichtenstein et Beckmann , pour ne citer que quelques noms....

Musée du Prado

Le musée du Prado est l´un des plus importants non seulement en Espagne mais dans toute l´Europe par la vaste collection de grands artistes qu´il

Le Musée Naval

Le musée Naval de Madrid retrace l´histoire navale d´Espagne de 1474 à aujourd´hui et présente pas pièces les plus importantes.

Velazquez

Velázquez est l’un des peintures les plus connus du monde y il est aussi reconnu comme l’un des représentant espagnols les plus importants qui soient. Et c’est justement pour cette raisonqu´il est un tant soit peu surprenant qu’une supposée œuvre de l’artiste soit retrouvée dans le sous-sol de l’université de Yale. John Marciari, commissaire qui travailla pour un déménagement qui se réalisa pendant la réfection du bâtiment du musée d’art de l’université, la trouva en 2003 mais n’en pouvait pas croire ses yeux. Durant beaucoup de temps, personne n’y a fait attention et on pensa qu’il était fou, mais en regardant plus profondément il savait qu’il s’agissait là d’une œuvre que l’auteur des Menines avait faite à ses débuts. L’attribution de cette peinture appelée L’éducation de la Vierge, s’est destinée jusqu´à aujourd’hui à un artiste anonyme de l’école espagnole du XVII mais après l’avoir présentée devant plusieurs spécialistes du sujet, ces derniers écrivirent un rapport de 40 pages (prochainement publié dans le magazine Ars) où ils expliquent les raisons qui poussent à croire que c’est bel et bien une œuvre de l’auteur espagnol. L’une de ces raisons fut que la toile utilisée pour peindre ce travail était du même type que celles utilisées par Vélasquez à ses débuts, en plus du thème qui est récurant chez l’auteur. Selon Marciari cette peinture fut réalisée en 1617 quand l’artiste avait seulement 18 ans. Jusqu’à présent, le directeur du centre Velázquez, appelé Benito Navarrete assura qu’il s’agissait bien d’une découverte très importante mais Marciari espère toujours de voir ce que dit le Musée du Prado, qui représente l’autorité maximale en la matière....

Le Thyssen se submerge dans le cote erotique de l’art avec les larmes d’èros

Georges Bataille a annoncé dans la préface de son livre les Larmes d´Eros que son objectif était “d´ouvrir la conscience à l´identité de l´orgasme (ou une petite mort) et de la mort définitive”. C’est comme cela que la nouvelle collection du Musée Thyssen-Bornemisza a pris le titre du livre pour inaugurer celle qui sera la nouvelle exposition de la saison automnale du Musée, où se combinent l´art et l´érotisme. L´exposition, qui restera ouverte jusqu´au 31 janvier, traite la passion érotique et la relation intime entre le sexe et l´instinct de mort à travers plus de 120 pièces originaires de toutes les époques et de tous les styles : depuis la Renaissance jusqu´à nos jours. Les oeuvres d´avant-garde s´entretiennent avec les artistes classiques : Rodin, Rubens, Warhol, Rousseau, Cézanne ou Picasso se mélangent dans les murs avec d´autres sphères de l´art, comme une vidéo de David Beckham dormant, réalisé par Sam Taylor Wood en 2004 ou une image de Rachel Weisz posant nue comme un ver. Une grande partie de l’exposition est basée sur les oeuvres qui ont des mythes universels pour axes thématiques : Vénus, Andromède, Aden et Eve, etc.. Ainsi, beaucoup de figures et de scènes originaires de la tradition judéo-chrétienne et de la mythologie classique nous présenteront un parcours à travers deux alinéas bien différenciés :“De la tentation jusqu´au sacrifice” qui abordera les indices de mort dans la passion érotique dans des représentations comme la Naissance de Vénus, Eve et le serpent, les Tentations de San Antonio ou Le Baiser, et dans le deuxième alinéa, “Le sommeil éternel”, où se montrera la mort ou l´agonie devenue un...