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C´est un cercle qui débutera le 29 mai au centre 2 de Mayo (CA2M) en collaboration avec le centre socioculturel Joan Miró de Mosteles et l´institut Goethe, seront présentées certaines des projections de l´exposition sur le cinéma allemand qui se réalise du 27 avril aux 18 mai. Le cinéma allemand est connu pour être dès le début une expression d´art plus qu´un divertissement. Le premier courant cinématographique allemand s´est développé autour de l´avant-garde expressionniste durant la première moitié du XXe siècle, avec un profond enracinement esthétique et idéologique au collectivisme du Brücke, qui convoquait une nouvelle génération de créateurs et de jeunesse, comme meneuse du futur, à se préoccuper de « la liberté de vivre et d´action devant les forces traditionnelles ». L´expressionnisme va transmettre l´essence d´un monde complexe d’après-guerre et sa principale critique est le matérialisme, qui parfois est chargé de la subjectivité révolutionnaire. Dans les années 60, le miracle économique de l´Allemagne occupée par les forces nord-américaines va influencer fortement les arts, qui depuis le début de la seconde guerre mondiale, se trouvent dans un cul-de-sac du à la fuite des créatifs au début de la guerre. Jusqu´aux années 60, le cinéma allemand était soumis à la propagande des vainqueurs de la seconde guerre mondiale et à une esthétique influencée par le Maccarthisme américain, d´intérêts artistiques réduits. À cela on ajoute l´apparition de la télévision qui va imprimer une esthétique visuelle en accord au mode de vie américain qui laisse en retrait l´image visuelle artistique pléthorique du subjectivisme. Cela provoqua l´assaut des étudiants de littérature et de cinéma qui voient dans le court-métrage une proposition esthétique pour...

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Se promener dans la rue Alcala c’est se promener dans le cœur de Madrid. Quiconque visite cette ville à presque le devoir de passer par cette rue et de se laisser émerveiller par une des plus belles, évocatrices et emblématiques rues, la plus longue et une des plus vieilles de Madrid, qui nait à la Puerta del Sol. Dans les années 40, la tradition voulait que quiconque visitait Madrid se fasse photographier dans cette rue, symbole d’être arrivé dans la capitale. Et encore aujourd’hui il est rare de ne pas se laisser photographier dans ce fabuleux environnement. Pour les madrilènes et les autres espagnols, c’est un symbole des films des années 60, où l’on voyait toutes ces voitures (Seat 600 principalement) faire le tour de la Puerta de Alcala. Ceux qui la visitent pour la première fois sont non seulement surpris par la beauté de ses bâtiments et ses monuments (la Cibeles, le bâtiment de Correos, le Palacio de Linares –aujourd’hui converti en la Casa de América?, la Puerta de Alcalá, etc.), mais aussi par son environnement soigné, entouré d’arbres et de fleurs. Au numéro 49 de cette rue, à la hauteur du métro Banco de España, on trouve le siège central de l’Institut Cervantès. Cette institution publique a été créée en 1991 pour la promotion et l’enseignement de la langue espagnole et pour la diffusion de la culture espagnole et hispano-américaine. En plus de son autre siège à Alcala de Henares (Madrid), lieu de naissance de l’écrivain Miguel de Cervantès, il existe des centres de cet Institut dans les cinq continents. Entre ses objectifs il y a celui...

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Jusqu’au 24 avril le CaixaForum de Madrid présente l’exposition L’effet du cinéma : illusion, réalité et image en mouvement. L’exposition est une intéressante révision de l’influence du cinéma dans la conformation de la culture visuelle du 21ème siècle. L’exposition est organisée par le Hirshorn Museum de Washington et le Sculpture Garden of Smithsonian Institution de Washington, avec l’appui du Broad Art Foundation et le Audrey and Sydney Irmas Charitable Foundation. Le cinéma est dans notre inconscient au travers de ses images et des représentations sociales qu’il construit dans l’imaginaire contemporain. En plus des avances de la technique qui permet de produire et reproduire des films et des documentaires grâce à un ordinateur ou une télévision, il y a le travail artistique chaque fois plus massifié de la vidéo qui nous invite à projeter nos idées au moyen de l’image. L’illusion et la réalité se croisent dans l’exposition et ceux qui sont là pour déchiffrer ces deux propositions sont les artistes internationaux Isaac Julien, Omer Fast, Runa Islam, Ian Charlesworth, Ferry Tribe, Mungo Thomson, Julián Rosenfeldt et Paul Chan. Ils nous invitent à découvrir la réalité de leurs compositions déstructurées qui nous permettent de communiquer avec la construction onirique des images : les rêves. Le cinéaste Isaac Julien, né à Londres en 1960, dans ses complexes œuvres sur la recherche d’identité raciale et sexuelle dans un monde dominé par l’image stéréotypée de la beauté, de ce qui est correct et de la vie quotidienne, a réalisé des travaux très intéressants de vidéo-art où il joue avec une poétique onirique sur les médiations de l’impact culturel des migrations mondiales. Runa Islam, cinéaste née...

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La fondation Juan March de Madrid présente jusqu’au 15 mai l’exposition Amérique Froide. L’abstraction géométrique en Amérique Latine de 1934 à 1973. L’exposition organisée autour de 300 œuvres cherche à établir des nouveaux paramètres de l’histoire de l’abstraction géométrique en Amérique Latine, en mettant en évidence les particularités et les différences avec ce courant artistique en Europe. Composée de peintures, sculptures, architectures et photographies provenant d’Argentine, Brésil, Colombie, Cuba, Mexique, Uruguay et Venezuela, chronologiquement l’exposition se situe entre le retour à Uruguay de Joaquin Torres Garcia en 1934 et le retour au Venezuela de Jésus Rafael Soto en 1973 pour l’inauguration du Musée de Ciudad Bolivar. L’abstractionnisme géométrique a ses antécédents dans le suprématisme de Kasimir Malevich, dans le néoplasticisme de Piet Mondrian et l’avant-gardisme de Wassily Kandinsky. Il est décrit comme un courant artistique de l’art abstrait qui surgit comme réponse a l’impressionnisme, aspirant à l’objectivité et à l’universalité que représentent les figures géométriques. Joaquin Torres Garcia, né à Montevideo en 1874, a été un des promoteurs de l’abstractionnisme géométrique en Amérique Latine. A 17 ans il s’est rendu en Espagne pour terminer ses études à Mataró, où vivait la famille de son père. Il a étudié à l’Ecole des Beaux-arts de Barcelone où il a été influencé par l’impressionnisme français. Il a rejoint le courant de l’abstraction géométrique à Paris, quand il a été invité à participer au groupe que fréquentait Piet Mondrian et qu’il s’est intègre au Cercle est carré. Torres Garcia apporte au groupe la logique dans la composition et l’inclusion de figures symboliques. En 1934 il retourne en Uruguay et s’intègre à l’élite de...

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Définitivement, cela donne l´impression que le XXIe siècle change de manière sensible les possibilités de voir bar, indépendamment de notre capacité à nous déplacer géographiquement de la partie du monde où nous résidons. D´un autre côté, la sortie récente de Art Project de Google permet d´explorer les musées du monde entier – on peut noter l´étrange absence des institutions comme le Louvre, le Pompidou ou le Prado, musée qui collaborait initialement avec le projet mais qui a finalement refusé sa participation car cela ne s´aligne pas avec son travail relatif à la présence à la présentation des collections – et devoirs des centaines d´œuvres d´art à travers un zoom doté d´une résolution proche de celle avec laquelle les recettes orateur d´art travail (cela offre, en utilisant l´outil l´entreprise espagnole m´a pixel qui photographie chaque tableau au millimètre et d´une manière synchronisée, une image de 14 millions de millions de pixels, un niveau de détail 1000 fois plus grand qu´un appareil de photo normale) et aussi de créer et de partager en réseau notre propre collection d´œuvres d´art. D´autre part, phénomène favorisé par la crise économique, de plus en plus fréquemment les grands musées du monde profitaient des périodes durant lesquelles les édifices sont en réforme pour organiser des tournées de leurs œuvres les plus représentatives, retirant de celle-ci ce grand bénéfice économique et créant à son tour la possibilité qu´elles puissent être vue à des milliers de kilomètres du lieu où elles sont conservées. C´est le cas, bien qu´ici le trajet ne soit pas si grand, du musée national d´art de Catalogne (MNAC) de Montjuic, qui, en échange de...

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Le 8 avril, sera projeté le document Plan Rosebud 2 au centre des arts 2 de mayo de Madrid. Le documentaire de María Ruido s´inscrit dans un cycle de pensée et débats promu par le centre. L´artiste visuelle María Ruido est née à Orense en Espagne en 1967. Son entrée dans le monde de l´art se fit à contre-courant de la discipline, puisqu´elle étudia l´histoire et de là, elle commença à observer que depuis le cinéma on pouvait construire et construire des images qui ont la qualité de fixer les regards collectifs et d´influencer l´histoire. Barcelonaise d´adoption, son travail de recherche, de production culturelle et de professeurs du département de l´image de l´université de Barcelone l´amena à développer plusieurs essais documentaires ou elle explore les représentations contextuelles dans l´élaboration sociale de la mémoire et la relation qui existe dans la construction narrative d´histoire. En 2006, année de la mémoire, Ruido aux côtés d´un groupe de travail commence documentaire “Le Plan Rosebud 2”., Avec l´appui du centre galicien d´art contemporain de Saint-Jacques-de-Compostelle. Cette année, l´Espagne est agitée par de multiples hommages aux victimes du franquisme – ravivait par la discussion de la loi de la mémoire historique approuvée au congrès en 2007 – et il paraît que finalement il se produit un débouchage de la mémoire, congelé depuis plus de 30 ans. Néanmoins, Ruido n´est pas intéressé pour faire un documentaire sur les victimes du fascisme, ni de revivre émotionnellement la défaite républicaine, mais d´explorer la politique de la mémoire et les discussions qui vont s´imposer sur l´éducation, les commémorations, lieu de mémoire et de symboles, et qui vont articuler...

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Si je vous dis Oasis, les amants de la musique se rappelleront automatiquement des frères Gallagher, qui se disputaient avec les membres de Blur pour être le meilleur groupe de Britpop de tous les temps. Malheureusement, le groupe s´est séparé mais il y a toutefois quelque chose de bon là-dedans : la création de Beady Eye. Beady Eye est un groupe britannique qui fut créé après la séparation d´Oasis en 2009 par quatre membres du groupe : Liam Gallagher, Gem Archer, Andy Bell et Chris Sharrock. Les fils du groupe sont pratiquement les même que pour Oasis après leur séparation sans compter qu´il manque l´un des piliers les plus importants : Noel Gallagher. Andy Bel tenait la basse dont oasis et se charge de la guitare dans Beady Eye ; Chris Sharrock sera derrière la batterie ; Gem Archer pour la deuxième guitare ; Liam Gallagher sera au micro ; et Jeff Wootton jouera la basse mais seulement pour les concerts live. Ce que l´on a entendu du groupe en premier est “Bring The Light”, qui fut lancé en novembre dernier alors que un peu plus tard, début de 2011, ils présentèrent leur premier single appelé “The Roller”. Plus d´informations : http://www.salariviera.com/ La Rivera: Paseo Virgen del Puerto, 28005 Madrid, España ? MiLK En novembre, le groupe a annoncé qu´il réaliserait une petite tournée européenne qui commencerait en mars et c´est dans ce cadre qu´ils viennent à La Rivera. Pour ce motif, tous les amants et les suiveurs d´Oasis auront la possibilité de voir jouer leurs stars favorites avec des chansons complètement nouvelles et menées par l’un des petits...

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Du 8 février au 2 mars, Asier Mendizábal Reina Sofia de Madrid. L´artiste espagnol, qui parcourt depuis l´art dans une démarche explicitement politique et idéologique, se basant sur une entité totalisante de l´imaginaire populaire, présentera son œuvre et ses exposés dans cette exposition intéressante. Asier Mendizábal est né à Ordizia, au Pays basque, en 1973. Il étudia aux beaux arts de l´université des Pays basque et obtint une bourse de résidence chez de-Ateliers Amsterdam. En 2010, il reçut le prix d´or de la critique des arts plastiques de la radio nationale Espagne. Mendizábal, malgré qu’il appartienne à une génération post-Franco, a construit un imaginaire depuis l´esthétique politique en examinant les scénographies, les symboles, les icônes, et le code linguistique de la gauche révolutionnaire des années 70, à partir des allusions symboliques de ces mouvements politiques. De son investigation sur la sous-culture de rue et la contre-culture du rock punk avec un fort contenu politique de gauche, comme Clash, Dead Kennedy ou Joy Division, il en ressort un contenu pour ses créations qui vont du culturel aux politique, et du politique au populaire, faisant ressortir le fort lien avec l´histoire du Pays basque. Dans sa recherche permanente des outils expressifs le plus adéquat, il alterne les sculptures, les installations, le design, cinéma, vidéo et l´écriture, pour réfléchir sur des thèmes qui le passionnent : l´idéologie de gauche comme facteur agglutinant des individus et déclenchant de processus culturels historiques. « Il y a une forme spécifique de penser avec des formes, comme le signe » s´est exprimé Mendizábal en faisant référence à sa recherche esthétique. Déjà Emmanuel Kant définissait l´esthétique comme...

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Wire revient en Espagne avec deux dates. Le 17 ils seront à Madrid avec leur meilleur répertoire, à la salle Moby Dick Club, plus de 30 ans après leurs débuts à Londres en 1976. Malgré les controverse, leur dissolution et retour dans les années 80 et ce nouveau retour, Wire expérimente pour aborder une musique pop qui paralyse et attire, il suffit de demander aux jeunes branchés dans la rue, ils connaissent Wire. Il faut dire que nous devons tant à Colin Newman et compagnie que c’est difficile à croire. Mais il suffit de demander à Bloc Party, Franz Ferdinand, à tous ce nouveau son Nu-Rock duquel je parlais l’autre jour. Mais il faut revenir aux sources et ne pas se contenter avec les médiocrités que nous vend la radio. Né de la seconde vague de punk, made in London, car tous le monde sait que ce furent les Ramones à NYC qui commencèrent, mais bon, le fait est que Wire avec ses trois premier disques “Pink Flag”, “Chairs Missing” et “154”, à su mener l’intensité et la répétition minimal du premier punk vers un son plus intense, recouvert de couche de guitare, effets et synthétiseurs. Une griffe de violence nihiliste stylisée, caché dans des rythmes intimes, par fois légers, qui rappelle l’illustre trio Eno-Bowie-Fripp et leur trilogie. Comment, tu ne les connais pas non plus ! N’as-tu pas honte ? Pfffff… L’influence de Wire c’est étendue sur plus de deux décennies : R.E.M., My Bloody Valentine, Fischerspooner, Minor Threat, Guided by Voices, et comment oublier le procès avec la sorcière d’Elastica pour la copie de “Three Girl Rumba” dans son hit...

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Victoria Diehl est une jeune photographe qui est née à La Corogne, Espagne, en 1978 et malgré sa courte carrière elle à déjà une grande quantité de prix et d’exposition à son actif. Sa capacité pour présenter des travaux photographiques plein de romanticisme et de sensualité qui sont combiné entre le contemporain et le classique est véritablement surprenante et dans ses œuvres la vie et la mort ne font qu’un et s’entrelacent à tout moment. Cette fois tous ceux qui voulaient découvrir son œuvre pourront aller à la Galerie Cero, qui se trouve à Madrid, où sera présentée l’exposition “Le Corps Vulnérable” du 1er décembre au 3 février de l’année prochaine. Cette exposition est une belle et inquiétante exposition de la photographe où ce présentent des images en cours de métamorphoses, où par exemple, une pierre se transforme en chair humaine, et aussi au contraire, où un corps humain fini par se pétrifier. Dans “Le Corps Vulnérable” Diehl montre une fois de plus l’importance qu’ont les espaces intermédiaires qu’elle aime tant et qui font toujours partie de ses expositions et captures. Elle transportera donc le spectateur dans un univers imaginaire et inexistant où rien ne peut être considéré comme impossible et irréel et où la seule chose qui importe c’est la perspective de l’artiste. Plus d’information: http://www.galeriacero.com/site/ Galerie Cero: Rue Fuenterrabía 13, 28014, Retiro, Madrid   MiLK Les amants de la photographie ont un rendez-vous assuré avec “Le Corps Vulnérable” qui sera présentée à la Galerie Cero jusqu’au 3 février 2011. Si tu veux connaitre un peu plus l’œuvre de Victoria Diehl tu peux louer un des appartements à Madrid...