Mónica Boixeda
Le marathon de Rome est l´un des plus célèbre au monde puisque ce sont 42 kilomètres de course et plus de 200 mille euros en prix.
Mónica Boixeda
Si vous séjournez à Rome et que vous souhaitez vous détendre, vous devriez visiter Acanto Spa et recevoir les meilleurs traitements.
Mónica Boixeda
Hammam Rome est un lieu ou les amateurs des classiques bains arabes pourront se relaxer, et passer un bon moment.
Mónica Boixeda
L´Ecole d´italien pour étrangers “Cola di Rienzo” propose une méthode qui garantit un aprentissage rapide.
Mónica Boixeda
Est Ovest à Rome propose des cours d´italien pour étrangers. Cet entreprise est implantée à Rome et évalue votre niveau d´italien.
Mónica Boixeda
Gagosian est presque une franchise spécialisée dans les arts basée à Rome, à Gênes, à New York et à Athènes
Mónica Boixeda
La Galerie de Valentina Moncada est une des plus prestigieuses du pays, faisant partie de l´élite internationale du circuit artistique.
Mónica Boixeda
Le Zoomarine de Rome est un parc aquatique original présentant des spectacles de dauphins. Vous pouvez notamment interagir avec les animaux.
Mónica Boixeda
Elio e le Storie Tese: un groupe qu´aucun italien né dans les années 80 ne connait pas. Stefano Belisari, alias “Elio”, le fonda à Milan dans ces années là bien que, en réalité, un premier noyau du groupe soit antérieur, et vient de l´école secondaire en 1975, quand Belisari et d´autres compagnons de classe (dont l´un est aujourd´hui le manager du groupe) se représentèrent devant une dizaine de retraités, dans un mini-concert. A partir de ce moment-là, Belisari obtint le surnom de “Elio”, titre de la chanson qu´il chanta. Les années suivantes, le groupe changea ses membres et se popularisa peu à peu, commençant par la publication de démos en version pirate, et se représentant dans des centres musicaux milanais tel que le célèbre Zelig. Le succès de Elio e le Storie Tese fut atteint grâce à ses nombreuses apparitions télévisées, et en particulier dans le Festival International de la Chanson de San Remo (l´évènement de musique pop le plus connu en Italie), en 1996. Sa formation finale réunit huit membrs: le déjà mentionné chanteur Stefano Belisari, Nicola Fasani (basse), Christian Meyer (batterie), Davide Chivaschi (guitare), Sergio Conforti (clavier), Antonello Aguzzi (clavier), Vittorio Cosma (guitare) et Luca Mangoni, qui en réalité est architecte et s´occupe des scènes et des chorégraphies du groupe. Elio e le Storie Tese est le groupe préféré de la jeune génération des années 90, décade à laquelle il généra un véritable boom et sans doute, ceux qui y étaient, se souviennent du titre emblématique “Tapparella”, une chanson qui peut réellement être considérée comme l´hymne d´une génération. Avec son ironie et ses envies de faire rire...
Mónica Boixeda
A l´occasion de la célébration des 150 ans de l´unification de l´Italie, le célèbre artiste, critique et curateur Germano Celant a organisé une série d´évènements et commissionné une série d´expositions en hommage à l´“arte povera”(l´art pauvre), un des mouvements italiens qui encouragèrent – de manière significative – la création artistique de la seconde après-guerre. Ce courant, qui fut connu au niveau national et international seulement à la fin des années soixante, se fondait dans la réalisation d’œuvres d´art moyennant l´usage de matériaux considérés comme “pauvres”, c´est à dire de moindre valeur économique. Ainsi, on utilisait le cristal, le bois, les feuilles ou les roches, les plaques de métal, le charbon, et beaucoup d´autres. La seule règle qui poussait la recherche était de trouver des matériaux pouvant être obtenus très facilement et de créer une œuvre d´art – avec sa valeur auratique – à partir de ce qui pouvait être considéré comme détritus. La raison était une fuite métaphorique du circuit commercial de l´art et la volonté d´avancer une proposition différente, évitant la réalisation d´objets qui génèrent une distance dans le spectateur et créant des œuvres qui l´inviterait à interagir avec elles. En ce sens, l´Arte Povera a un contenu très controversé au niveau social, proposant une forte critique aux mass-média, tout en rejetant les images réductrices et les créations en série du pop art ou du minimalisme. Il s´agit, pour ces raisons, d´un art qui propose un intéressant extrémisme au niveau opérationnel et dans lequel, de plus, se distingue une forte confiance en la spontanéité de l´art créatif, et une volonté de récupérer la dimension utopique de la création...