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ONLY BE SÉVILLAN

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Nervión Plaza

Nervión Plaza est un centre commercial de la ville de Séville qui nous offre tous les services dont nous avons besoin pour ne détendre pour passer

Aire Sur

Aire Sur est un lieu de commerce moderne de la ville de Séville qui apporte aux clients la sécurité de trouver un seul lieu pour tout ce qu’il

Brasserie El Tremendo

La brasserie El Tremendo est le lieu idéal pour profiter de la meilleure bière dans la zone. On peut prendre son verre dans la petite rue pour profiter de

Brasserie La Fábrica

La brasserie La Fábrica est le bar le plus traditionnel de Séville où vous pouvez déguster plusieurs types de bière artisanale. Immanquable.

Le musée des beaux-arts Séville

Le musée des beaux-arts est unique parce qu’il expose des œuvres du culte religieux qui furent récupérés des monastères et

annika-strom-seville

Même si il est possible que rien ne fasse aussi mal que la musique, il est aussi possible que rien n’ait un tel potentiel pour transformer la réalité personnelle et collective de l’humanité. Ce n’est donc pas si étrange que l’on est conçu l’univers et la vie d’une façon bien pythagorique, comme une harmonie de mondes ou musiques de sphères. Bien en accord avec la très ancienne tradition indou qui dépose dans la danse universelle de création et destruction de Shiva la révélation de la vérité cosmique, bien de façon analogue aux modernes théories des cordes quantiques qui postulent un univers multidimensionnel composée par une simultanéité d’états vibrationnels similaire à un certain sens poétique de l’éternité. Dans la guitare de Woody Guthrie on pouvait lire la phrase “Cette machine tue les fascistes”, comme pour exemplifier le cas d’une façon directe, mais la filiation de la musique avec le changement social est presque aussi ancienne que l’histoire de l’humanité. Il est très possible que dans un premier temps les chansons surgirent pour harmoniser le travail collectif en accord avec un même patron rythmique, créant une union harmonique entre les différentes personnes qui participaient à la tache. De la même façon que les grands poèmes épiques qui se chantaient de génération en génération, contribuaient mieux que tout autre chose au sentiment d’appartenance à une collectivité avec une histoire et des valeurs communes. Pendant tout le Moyenne Âge les poèmes continuèrent à être inséparables de la musique, l’art des muses par excellence et ils contribuèrent grandement à la création d’un imaginaire collectif générateur d’une cosmovision déterminée qui pouvait à son tour être...

raphael-seville

Oh Raphael, deux fois oh. A toi aussi comme à tous les autres, ta mère t’a cassé les oreilles avec les disques de Raphael quand tu avais entre six et huit ans. C’est que Raphael est si propre de la culture espagnole et latine qu’il ne peut plus s’effacer. Des chansons comme “Maravilloso Corazón”, “Yo soy aquel”, “Como yo te amo” et “Mi gran noche” font parties de l’inconscient collectif hispanique depuis déjà des décennies. Le succès de ce divo qui maintenant nous parait un peu Kitch, ne réside pas exactement dans ses affections ou ses irrévérences, mais bien sur aussi a sa grande voix et à un charisme singulier qui ont su le maintenir présent, malgré les modes et tous les styles, dans le cœur de beaucoup. Surf un moment sur YouTube pendant que tu lis cette article et cherche les actuations de Raphael dans les années 60. Et bon d’avoir la saveur amère que cette star est sortie des habitations de la dictature franquiste : bien qu’il n’ait jamais eut aucune relation politique d’aucun type, son style est mit dans la Nouvelle Vague de l’époque, très à l’espagnole évidement. La voix de chanteur, les vêtements complètement noir, un des ses signes et une petite gueule de rêve presque à la Beatles. Pop à l’espagnol sans causer de troubles, affirmant la romance et touchant les adolescentes amoureuses. Ensuite viendrait la longue chevelure, les sauts de haut en bas sur la scène, la théâtralité, presque jusqu’à se rouler par terre. Ce fut peut-être sa meilleur époque : non seulement beau mais en plus showman de grand qualibre, trop grand. Dans certain clips...

Sevilla Factory

Sevilla Factory est le plus récent centre commercial de la région. En plus de vendre les derniers produits tendances il recycle ses déchets et ceux

pintura-andaluza-sevilla

Le Musé des Beaux-arts de Séville présente une exposition qui commença le 8 mars et terminera le 29 mai, l’exposition se nome “Images et mythes dans la peinture andalouse. Collection Bellver” et exhibe les peintures andalouses les plus remarquables de l’époque qui va de 1830 jusqu’à 1950. L’exposition, qui est divisée en sept différentes sections, compte avec au moins 171 tableaux de la collection Mariano Bellver et est présentée dans la salle cinq du musé sévillan. Les œuvres qui peuvent être admirées sont pour la plus part d’artistes de Séville, mais il y a aussi des œuvres d’artistes issus d’autres régions d’Espagne qui ont choisis de représenter l’Andalousie dans leurs peintures. Dans une des sections, le sujet est l’arrivé de différents artistes en Andalousie, comme Robert Kemm, principalement des français et des anglais, qui commencèrent à marquer la naissance de la peinture romantique en Espagne. Une autre des sections appelée “Costumbrismo Romantique” présente les œuvres de Federico M. Eder, Cabral Bejarano, Dominguez Bécquer et Cortés Aguilar entre autres artistes du deuxième tiers du 19ème siècle. Dans “Peintres andalou en Italie”, comme son nom l’indique, montre des peintures de José Villegas Cordero, Rafael Senet Pérez et de Santa Fosca. Peu à peu en visitant les sept différentes sections on peut voir comment à évolué la peinture en Andalousie au travers du temps jusqu’à arriver aux années 50. Plus d’information : http://www.juntadeandalucia.es/cultura/museos/MBASE/index.jsp?redirect=S2_1_3_1.jsp¬icias=1477&novedades=1 Musé des Beaux-arts de Séville : Plaza Museo 9, 41001 Séville, Espagne   MiLK C’est une des premières expositions où on peut non seulement admirer les œuvres d’artistes d’exceptions mais aussi découvrir exclusivement comment à évolué l’art dans une...

feria-seville

Ce printemps la traditionnelle Feria d’avril de Séville aura lieu du 3 au 8 mai dans le quartier populaire los Remedios, où elle a lieu depuis 1973. Dans un espace qui fait un kilomètre et demi de long par cinq cent mètre de large, où les rues sont décorées avec des lanternes vénitiennes, où se promènent des chevaux, cavaliers et des charrettes tirées par des chevaux, les gens chantent et dansent jour et nuit et les belles sévillanes exhibent leur traditionnelle tenue flambante. Les débuts de la Foire d’avril remontent au 25 aout de 1846, quand les messieurs José Maria de Ybarra (basque) et Narciso Bonaplata (catalan) ont rédigé une proposition qu’ils ont mené au conseil municipal, dans laquelle ils demandaient l’autorisation d’organiser une foire annuelle les 19,20 et 21 avril, autorisation qu’ils ont obtenu suite à plusieurs rendez-vous et négociations avec le maire, le Conte de Montelirio, qui disait qu’il y avait déjà deux autres foires très proches. En mars 1847, la reine Isabel II accorda à Séville le privilège de foire et au mois d’avril suivant, les trois jours de foire se sont célébré pour la première fois. La première foire d’éleveur de bestiaux se fit au Prado de San Sebastian et a eu un grand succès. Elle était constituée seulement de 19 stands qui mélangeaient bétail et diversion. Ce fut à partir de 1920 que la foire a commencé à ressembler à celle d’aujourd’hui, foire à laquelle actuellement participent beaucoup de visiteurs étrangers, de curieux, de fêtards et surtout les artistes et les célébrités qui lui donnent une touche de glamour. La porte d’entré de la...