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ONLY BE MADRILÈNE

Only Be Madrilène

Teatralia Madrid

Teatralia est l´un des événements qui ont lieu en Espagne et qui s´adresse aux enfants et aux adolescents.

Helga de Alvear Madrid

La galerie de Helga de Alvear est l´héritière de Juana Mardo, et compromise avec les memes principes : montrer au public l´art de l´avant-garde.

Soledad Lorenzo Madrid

La galerie de Soleda Lorenzo est une des plus réputées de Madrid. Dans ses locaux sont passées des artistes de taille, et renom international.

Juana de Aizpuru Madrid

L´historique galerie d´art de Juana de Aizpuru est une véritable institution dans le panorama artistique nationale.

The Sanctuary/City Spa Madrid

les meilleures thérapies orientales pour harmoniser les corps, alimenter le plaisir de se choyer, et apprendre à gérer les temps.

…parfois, on a juste besoin d

Bien qu´elles soient souvent la cible facile d´une certaine catégorie de snobs tant de la musique que du théâtre prétendument sérieux, il est sûr que les comédies musicales possèdent un pouvoir de fascination difficilement dédaignable pour tout ceux qui ont vaincu leurs préjudices et ont eu la chance d´assister à une des représentations. Mais indépendamment de la qualité de la production, la comédie musicale constitue, de plus d´un point de vue, un phénomène qui représente quelques unes des caractéristiques les plus essentielles et attractives des arts de la scène, commençant par le principe de suspension de l´incrédulité. Tout ce qui se produit dans une comédie musicale, que ce soit absurde ou peu réaliste, est accepté de la part du public sans protestation et sans scandale, et en toute vraisemblance se réfère à l´une des plus anciennes des conventions dramatiques, ce qui ouvre un étonnant éventail de possibilités pour l´illusion et le jeu qui devient énormément attractif tant pour le spectateur que pour les artistes du théâtre. Si nous ajoutons à cela le spectaculaire déploiement de moyens qui accompagne souvent ce genre et une sensibilité contemporaine s´apparentant aux moyens artistiques de notre temps, nous pouvons affirmer sans aucune hésitation que la contemplation d´une bonne comédie musicale peut être comparable en intensité, en profondeur et en émotions à celle de toute autre manifestation théâtrale, toute vêtue de haute culture qu´elle soit. Depuis au moins une décade, la Grande Via madrilène a fermement opté pour les comédies musicales avec la chimérique intention de pouvoir un jour concurrencer avec la qualité et la variété d´offres du West End londonien. Bien sûr la scène...

…parfois, on a juste besoin d

Observer sans être vu génère un plaisir qui plait d’avantage à certains, mais cette exposition qui s’appelle ” Observés. Voyeurisme et surveillance à travers de l’appareil photo depuis 1870″ est une exposition culturelle pour tout public. Du mois d’octobre au 8 janvier 2012 cette exposition sera présentée pour que les visiteurs en profitent. Elle se trouve dans la Fondation Canal de Madrid, un endroit très intéressant pour son compromis social et culturel. La Fondation Canal a été crée par l’entreprise Canal d’Isabel II en 2000, qui se charge de fournir de l’eau à toute la ville de Madrid. C’est une entreprise publique qui s’occupe des eaux depuis 1984, quand elle a assumé le compromis de maintenir la qualité et la sécurité du service. En 2000 ils ont décidé de créer une fondation qui représente leur idéaux et qui démontre le compromis social de l’entreprise. Depuis lors ils se chargent de plusieurs évènements culturels et promotionnent toujours l’inauguration de présentations et d’expositions de peinture, musique et autres arts. Ce qui est intéressant dans cette exposition, c’est qu’on peut faire un parcours des années 70 jusqu’à maintenant en 170 images et deux vidéos qui racontent le regard indiscret d’un groupe de personnes sur le sexe et l’érotisme ainsi que sur les célébrités, surveillés constamment avec passion et fanatisme. Faire de la photo, c’est un peu l’art d’un voyeur, d’un voyeur photographe qui observe et capte ensuite avec son appareil ce moment qui lui a plu. C’est pour cela que le nom de cette exposition s’adapte à la perfection à l’idiosyncrasie des créateurs des images, dont quelques-uns sont très reconnus comme Walker...

…parfois, on a juste besoin d

Une des grandes attractions du dernier Festival de Cinéma de Venise fut la présence du réalisateur nord-américain Frederick Wiseman (Boston, 1930) pour présenter un documentaire sur le mythique cabaret parisien Crazy Horse qui vient juste de fêter ses 6o ans. Bien sûr qu´il n´apprécierait pas, et non sans raisons, ce terme. Mais Wiseman ne s´intéresse pas aux étiquettes et ne partage pas le besoin d´avoir à classer les films en différents genres. Particulièrement les siens, dans lesquels si la structure dramatique a peut-être toujours été l´élément commun essentiel, le cœur qui les parcourt transversalement, peut-être de part son intérêt pour le corps humain—et son inévitable quoique trompeuse fragilité—dans toutes ses manifestations, de la manière dont le monde du ballet l´utilise comme moyen d´expression essentiel, à l´usage que de lui font les moines (qui d´une certaine manière tentent de le nier) ou les soldats (pour ceux qui constituent une arme ou un outil d´agression et d´attaque). Ainsi, Wiseman n’a aucune hésitation à admettre qu’en réalité ce qui le motiva à réaliser ce dernier film fut seulement le Crazy Horse en particulier, référence inéluctable pour tous les amoureux du genre, de celui qui est depuis six décades un véritable vaisseau amiral et point de pèlerinage presque obligatoire. Et à l´intérieur du Crazy Horse son intérêt se focalise, autre trait commun à son œuvre, sur les personnes, spécifiquement sur ses fabuleuses et légendaires danseuses, êtres que son regard, oscillant entre la tendresse et le voyeurisme plus consommé et désirant, transforme en exceptionnelles tant comme des professionnelles de leur art que comme des personnes. Le film de Wiseman est une des manières par...

…parfois, on a juste besoin d

Neil Armstrong est-il réellement allé sur la Lune ? La théorie de la conspiration qui assure que tout a été inventé dans la course avec l’URSS durant la guerre froide est-elle valable ? Vous pourrez le vérifier par vous-même en admirant le film original, en écoutant la voix émue de Neil Amstrong : « un petit pas pour l’homme, un grand pas pour l’humanité », observer et vous installer comme un astronaute dans une copie d’Apollo XI et du module lunaire. Vous pourrez observer si le modèle de 1969 était effectivement doté d’une technologie trop peu avancée comme certains le prétendent actuellement. Michael Collins, pilote du module de commande, et Edwin “Buzz” Aldrin, pilote du module lunaire, ont été les astronautes qui ont partagé avec Armstrong ce voyage historique. Tout cela vous sera dévoilé à partir du 15 décembre dans l’exposition «  l’aventure de l’espace » de la NASA, qui s’installera à la Casa de Campo. L’exposition est composée de six galeries connectées entre elles : « Go fever », « rêveurs », «  pionniers », «  innovation », «  résistance », et «  prochaine génération ». On pénètre dans une copie du vaisseau Apollo 17, qui mène à la tour de lancement de 110 m de haut, c’est alors que commence exposition qui lors de son passage par Stockholm a reçu plus de 200 000 visiteurs et vous sentirez l’effet à l’intérieur de la navette qui a effectué en 1972 le dernier voyage vers notre satellite naturel. En entrant, chaque visiteur reçoit un iPod touch muni d’un guide dans la langue de son choix afin de parcourir les espaces modulaires de l’exposition et de toujours recevoir l’information nécessaire sur les 400 objets originaux...

…parfois, on a juste besoin d

En raison d´un jumelage entre l´Espagne, et la Russie, Saint-Pétersbourg accueille à partir du mois de Février jusqu´au mois de Mai, l´exposition “El Prado à l´Hermitage”. Au total 66 tableaux des écoles espagnoles, italiennes et flamandes qui ont offert de l´importance au musée madrilène, avec l´incomparable marque de l´Hermitage, un des plus grands, et spectaculaires du monde. Suivant ce jumelage avec cet échange de collection, le musée du Prado a l´honneur de recevoir le State of Hermitage Muséum de Saint-Pétersbourg. Cette exposition ouvrant ses portes le 8 Novembre restera ouverte jusqu´au 25 Mars 2012, et sera organisée par Mikhail Piotrovsky, directeur du musée de St-Petersburg. Les assistants pourront découvrir des 170 oeuvres de l´Hermitage incluant peintures, sculptures, objets artistiques décoratifs, et pièces archéologiques, entre autre, datant du Vème siècle A.C. au 20 ème siècle. Une grande variété des ses collections récoltées dans le même musée madrilène. Parmi les oeuvres présentes, Primavera eterna de Rodin (sculpture), “Femme assise” de Picasso (Toile); “le mois de Maria”de Matisse (Toile); et “joueur de Laud” de Caravaggio (Toile) sont les plus populaires. Parmi les objets d´arts décoratifs, on y trouve un épée du 18ème siècles qu´un ambassadeur offrit au tsar, on y trouve aussi un magnifique exemplaire décoré de rubis, diamants, et argent, comme aussi le “vase de fleurs” de Carl Fabergé, réalisé en cristal de roche, diamants et l´or. Le musée madrilène doit son nom à la célèbre rue au paseo du Prado. Ce magnifique boulevard de la capitale espagnole, part de la place Cibeles, et atteint la Glorieta de Atocha. C´est là que se trouve le Jardin Botanique, la Bibliothèque nationale, et...