Miss Moci
Centre d´art contemporain, bibliothèque, salles avec diverses activités comme des ateliers et des séminaires situé dans le 19ème
Miss Moci
Centre culturel situé en plein cœur de Paris. On peut y trouver des expositions, des pièces de théâtre, de la musique, de la danse, des
Miss Moci
Uno de los centro de arte contemporáneo más importantes de París. Cuenta con salas de exposición, proyección, librería y un agradable
Mónica Boixeda
A Bike About en plus de louer des vélos pour découvrir Paris d´un autre point de vue, des tours guidés très intéressants sont proposés.
Mónica Boixeda
La Bibliothèque Américaine de Paris présente, dans la ville française, des milliers de livres en anglais pour les lecteurs amoureux de la langue.
Miss Moci
La Galerie Perrotin est l’une des plus importantes de Paris, où se rassemblèrent les présentations des jeunes artistes les plus prometteurs.
Mónica Boixeda
Le Musée Picasso de Barcelone présente du 1er juillet au 16 octobre l´exposition “Dévorer Paris. Picasso 1900-1907″ qui comme son nom l´indique montre l´évolution de l´artiste depuis son arrivé dans la capitale française. La présentation fut organisée autant par le Musée Van Gogh d´Hollande que par l´Action Culturel Espagnole et avec la collaboration de Endesa en tant que sponsor. Picasso arrive à Paris en 1900 et presque dix ans plus tard, il est déjà reconnu comme un des principaux auteurs d´avant-gardes de la ville et en plus il est à la tête de ce mouvement. Durant cette période l´homme de Malaga eut la possibilité de voir les œuvres de Gauguin, Puvis de Chavannes, Van Gogh, Steinlen, Rodin et Toulouse-Lautrec entre beaucoup d´autres. Comme on peut l´imaginer, le fait d´observer tout ses excellents artistes provoqua un grand changement dans la tête de l´espagnol qui incorpora dans son art beaucoup de caractéristiques de ces grands artistes. C´est pour cette raison que Picasso explora beaucoup de nouvelles techniques. Dans “Dévorer Paris. Picasso 1900-1907″ on pourra observer au moins 50 œuvres de l´espagnol faites à travers de différents supports et comme si c´était peu, exactement 47 autres peintures de quelques uns des artistes les plus importants de l´histoire comme Cézanne, Van Gogh et Rodin entre autres. L´idée de tout cela est non seulement de profiter de ces œuvres mais aussi de voir ce que Picasso prenait de ces œuvres pour l´appliquer dans les siennes et comment évolua son style grâce à ses années à Paris. Van Gogh fut un des rares artistes plastiques pour lequel Picasso annonça son admiration et respect. C´est justement...
Mónica Boixeda
Nous devons probablement au poète grec Hésiode la plus ancienne expression conservée (vers le dernier quart du 8ème siècle avant J.-C.) de certains des mythes plus persistants et fertiles de la culture occidentale. En réalité il est probable que sa colossale importance repose précisément sur ça, avoir donné une structure cohérente aux mythes de l’antiquité grec qui devront alimenter la culture et la créativité humaine en occident pendant plus de vingt-cinq siècles. Peut-être grâce à son caractère récurent dans l’histoire de notre civilisation, entre les mythes de Les Travaux et les jours, qui dénotent le caractère essentiellement humain du poème, on remarque en particulier celui des âges de l’homme, qui établi l’existence d’un âge d’or initial régit par Chronos et caractérisé par le bonheur et l’abondance. Il n’est pas exclut qu’il n’y ait pas eut une seule période historique dans le devenir d’Occident dans laquelle on n’ait pas eut la sensation de vivre, en comparaison avec certains âge doré du passé, une période de décadence, de manque d’idées, d’ambition et de créativité. A une époque comme la notre dans laquelle semble se répandre une sensation de crise et de découragement indicative d’une fin de siècle, la tentation de se réfugier dans la nostalgie d’un temps passé où la vie aurait été réellement digne de se nom à tendance à grandir. Le même phénomène est observable dans les différents âges des personnes, dont leur envie de considérer le temps de leur propre jeunesse comme un âge doré extraordinaire à très souvent des lamentables conséquences intellectuelles et vitales. Cependant une fois les précautions conceptuelles nécessaires prisent, la nostalgie comme l’art, nous...
Mónica Boixeda
Dans son roman de 2003, Paris ne fini jamais l’écrivain barcelonais Enrique Vila-Matas rend un étrange hommage à Marguerite Duras et à Ernest Hemingway et, au travers d’eux à la littérature en général, à une façon d’être dans le monde qui ne se comprend pas en marge des livres et des mots. Dans plus d’un sens il s’agit d’un roman d’éducation sentimentale, un livre qui relate les façons dont un jeune s’initie dans les chemins de la vie et de l’art. Le titre du livre provient du dernier paragraphe du roman autobiographique d’Hemingway, A Moveable Feast, où l’écrivain américain dit de la capitale française que si on y a vécu c’est une ville qui ne fini jamais, à laquelle on fini toujours par retourner et toujours de façon différente selon chaque individu. Dans le cas d’Hemingway, comme dit la dernière phrase de son roman, domine le souvenir doré des années de sa jeunesse où il vécu à Paris très pauvre et très heureux. Au souvenir lumineux d’Hemingway, Vila-Matas oppose ironiquement et mélancoliquement le sien, car lui aussi fut un jeune très pauvre à Paris mais à la différence du Prix Nobel aussi très malheureux et c’est cela qu’il se propose de nous raconter dans son livre. Les deux années dans lesquelles au début des années soixante-dix il fut très pauvre et très malheureux à Paris, à cause de son ignorance de comment procéder correctement dans la vie comme dans la littérature, domaine dans lesquels il se trouvait fermement installé dans un culte du noir, du nihiliste et du désespéré, synonyme irremplaçable, selon ce qu’il croyait à l’époque, de l’élégant...
Mónica Boixeda
L’abbaye bénédictine de Saint-Germain des Près est considérée comme l’église la plus ancienne de Paris. Située dans le 6ème arrondissement, plein de cafés, galeries d’art et boutiques de luxe. Ce fut un quartier intellectuellement très prestigieux à l’époque de l’existentialisme car ses cafés étaient très fréquentés par des intellectuels comme Sartre et Beauvoir. Située en dehors de ce qui fut autrefois le Paris médiéval, sur la rive gauche de la Seine. Lieu sujet aux inondations à l’époque de sa construction, l’abbaye à dû s’installer au milieu des prés, d’où le nom. Elle fut fondée au 6ème siècle par le roi mérovingien Childebert I. En 542, en guerre contre l’Espagne, le roi retira le siège sur la ville de Zaragoza en apprenant que ses habitants s’étaient mis sous la protection de Saint-Vincent Martyr. En remercîment, l’évêque de Zaragoza offrit aux mérovingiens la tunique du saint et Childebert à son retour à Paris fit construire cette Basilique Sainte-Croix dans le but d’y placer la relique et les tombes des rois, dédiant le lieu sacré à la sainte croix et à Saint-Vincent Martyr. Par la suite fut construit le monastère bénédictin. On pense que ce fut à ce moment là que l’évêque de Paris prit son nom actuel, Monseigneur Germain. Au 9ème siècle l’église fut saccagée et incendiée au moins en quatre occasions par les normands, ne sauvant que ses colonnes. Elle fut reconstruite et agrandit au 12ème siècle par le Pape Alexandre III. Le cloché roman de l’entré fut construit comme un solide contrefort pour soutenir le poids des grandes cloches et c’est l’un des plus anciens qui se maintient encore...