Miss Moci
Le Musée Marmottan Monet est devenu grâce aux dons l´un des plus riches musées en oeuvres de Paris et sa visite est incontournable.
Miss Moci
Le Centre Georges Pompidou devenu l´un des musées d´art moderne les plus importants du monde à côté de la Tate Modern à Londres
Miss Moci
Le Musée des Beaux Arts de Paris est appelé par beaucoup comme le petit Louvre à cause des magnifiques œuvres qu´il abrite.
Miss Moci
Le musée d´Histoire Contemporaine est un endroit qu´il est obligé de visiter pour toutes les personnes qui s´interesse à l´histoire,
Miss Moci
Le musée du Louvre, l´un des plus connu du monde, est une visite obligatoire pour tout les millions de touristes qui passe par la ville chaque année.
Miss Moci
Le musée D´Orsay à Paris, qui anciennement était une gare, est visité par des millions de touristes et détient certaines des oeuvres
Mónica Boixeda
En marchant dans les rues de Barcelone, tôt ou tard on rencontrerait une écriture surprenante, imprimé sur beaucoup des poubelles de la ville. ” El arte es basura (L´art est une poubelle)”, vous le lirez sur la porte d´une armoire détruite ou sur une étagère abandonnée dans la rue et vous vous demanderez ce que l´auteur a voulu dire avec cette phrase, si c´est la réflexion rapide d´un passant ou s´il s´agit d´une œuvre d´art qui véhicule un contenu précis. Vous garderez le doute jusqu´à ce que vous rencontriez d´autres étagères inscrites, plus de sacs de poubelle peints dans différentes parties de la ville, alors vous comprendrez qu´il s´agit d´un projet spécifique, et en demandant autour de vous, vous découvrirez que l´auteur est l´artiste espagnol Francisco de Pájaro (www.franciscodepajaro.net). De Pájaro est à Zafra, province de Badajoz, en 1970. Il a commencé à peindre étant adolescent, en décorant des locaux jusqu´à rentrer, en 1994, à l´école des arts et des métiers artistiques de Merida, où il est resté un an et demi avant de laisser tomber ses études et de revenir à sa ville natale, où il ouvre son premier atelier-étude, et commence à se dédiée à la peinture en suivant une aspiration surréaliste et cubiste, ayant comme référence Francis Bacon et Pablo Picasso. Sa première exposition individuelle eue lieu à la galerie de la Caja de Ahorros de Badajoz. Après un tragique accident dans lequel son compagnon et collaborateur trouve la mort, il décida d´abandonner la compagnie “Rotuletto” (dédiée au design corporatif et d´intérieur) pour se concentrer uniquement la peinture. Il vécut à Londres deux ans, réalisa deux...
Mónica Boixeda
Au début de l´année 1998, paraissant pressentir sa propre mort qui arriva quelques mois plus tard, le poète anglais Ted Hughes fit imprimer une collection de poèmes-cartes écrits à la première personne et qui s´étalent sur une période de plus de 25 ans, dirigés presque en totalité envers sa première épouse, la poète américaine Sylvia Plath, qui s´était suicidé de 35 ans auparavant. Il s´agit de Birthday Letters (lettres d´anniversaire ), un livre surchargé de beauté où pour la première fois Hughes élabore, depuis la première fois qu´il la vit au Strand de Londres sur une photo de groupe d´étudiants Fullbright, la question de la mort et l´absence de Plath et l´intense, magnifique et dramatique vie qu´ils ont partagée. De ce recueil de poèmes, nous savons que derrière son mariage modeste le jour de Bloomsday (le 16 juin) dans la paroisse de St George of the Chimney Sweeps du quartier londonien de Holborn— qui sur son hôtel, où Plath vit le ciel s´ouvrir et lui montrer des richesses murs pour qu´elle tombe sur nous. », Hughes en lévitation à ses côtés, s´est vu « soumis à un temps bizarre : le futur ensorcelé – tous deux s´en iront à Paris pour leur voyage de noces. Là-bas, alors que Plath revivait avec enthousiasme le mythe de la ville que nous devons à Stein, Hemingway, Fitzerald, Miller et au reste des Américains de la génération perdue, pour Hughes, seulement existait « la capitale / de l´occupation au vieux cauchemar / je lisais chaque cicatrice de balle sur les pierres de taille du quai / avec une sinistre sensation familière, / et regarder...
Mónica Boixeda
Paris, la ville des lumières, est la capitale idéale pour laisser l’amour n’en faire qu’à sa tête. Peu importe de quelle manière ou l’orientation sexuelle parce que Paris est tolérante et accueille l’amour dans n’importe quelle condition. Grâce à sa grande quantité de bars orientés au public homosexuel, la capitale française est une destination idéale pour partir en vacances pour la communauté gay. Le quartier du Marais dans le 4ème arr. concentre la majeure partie de l’activité gay, mais les quartiers situés à l’entrée droite de La Seine, près de Châtelet et de l’Hôtel de Ville, sont aussi très fréquentés par les homosexuels. Marais est à Paris ce que Chueca est à Madrid ou le Soho de Londres. Par là-bas, la vie hétérosexuelle et homosexuelle se mélangent de la manière la plus naturelle. Dans cette zone, il y a une panoplie de bars, restaurants et magasins pour tous les goûts, dont beaucoup ont une tendance et une esthétique gay. Dans les rues du Marais, les couples de garçons et de lesbiennes se sentent parfaitement à l’aise. Les rues de Beaubourg, de Vieille du Temple et de Rosiers forment le célèbre « triangle rose ». Il s’agit d’une zone très jolie et pleine de charme où vivent ensemble différentes communautés et cultures : arabes, asiatiques, juifs…Ils se mélangent tous aux artistes et intellectuels, étant donné que c’est un quartier très cosmopolite de Paris. En plus d’être le noyau des soirées nocturnes, c’est aussi une zone où faire ses achats est un vrai régal. Les filles lesbiennes se plaignent souvent du peu d’évènements nocturnes qui s’offrent à elles, mais jamais à...